
des rues minces comme des coulisses dans une ville aux façades de théâtre

des rues canaux, préservant leur coeur sauvage d’une marge d’eau

des rues où l’on est encore chez soi, un bol de café entre les mains au petit matin, les pieds sous le drap du soleil

des rues au nom de sombre renoncement (ici Schopenhauer) où passent des fillettes pipelettes
Votre commentaire