
L’étonnement, d’après Le Littré :
1. ébranlement, commotion. « Depuis sa chute, il lui est resté un étonnement du cerveau. » Terme de vétérinaire. Étonnement du sabot, ébranlement occasionné, dans le pied du cheval, par un choc violent contre un corps dur. Terme de joaillier. Fêlure d’un diamant occasionnée par un contre-coup.
2. Ébranlement moral. « La colère de Dieu le tenait dans un profond étonnement
« , Bossuet, Hist. II, 8.
3. Sensation morale causée par quelque chose d’extraordinaire, de singulier, d’inattendu. « Je sens croître ma joie et mon étonnement
« , Racine, Iphig. II, 2.
4. Admiration. Être ravi d’étonnement. « Cette action fera l’étonnement des siècles futurs. »
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